En 913 le monastère est pillé et incendié par les Vikings, les moines, emportant les reliques
de St Guénolé, partent se réfugier dans le nord de la France, à Montreuil-sur-Mer.Au milieu du 10è siècle, les moines reviennent et rebâtissent le monastère dont subsistent encore les ruines aujourd’hui.
Du 14è au 16è siècle le monastère subira bien des vicissitudes, pillé à plusieurs reprises durant les guerres de la Ligue.Au 17è siècle, Landévennec s'agrège à la Congrégation de St Maur.
Les bâtiments conventuels sont reconstruits et le monastère connaît une brève période de paix qui s’achèvera à la Révolution Française.
La communauté est dissoute, la bibliothèque dispersée, et le monastère vendu comme bien national. En 1875 ce qui reste du monastère est à nouveau mis en vente, Le comte Louis de Chalus, le nouveau propriétaire, entreprend de sauver ce qui peut l'être encore...
En 1950, sous l'impulsion du P. Abbé Louis-Félix Colliot, Landévennec est racheté par la communauté bénédictine de Kerbénéat, (Congrégation de Subiaco) près de Landerneau. Une nouvelle page s'ouvre alors pour l'Abbaye : c'est la renaissance de Landévennec...
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